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31 mars 2023 5 31 /03 /mars /2023 21:49

Aujourd'hui, le mariage symbolise l'amour entre deux êtres, mais en était-il de même pour nos ancêtres ? Se mariaient-ils par amour ou par raison ? Les mariages étaient-ils arrangés ?

Au fil des registres, on peut facilement constater que la plupart des mariages sont célébrés entre personnes de même condition sociale, du même univers professionnel, ou bien du voisinage. J'ai par exemple souvent rencontré des enfants de meuniers qui épousaient des enfants de meuniers ou de boulangers. J'ai déjà évoqué une autre famille avec des alliances de bouchers sur 3 générations.

Aujourd'hui, je vous fais découvrir l'histoire de Jean AHIER, de Vibraye, qui s'est marié à la femme qu'il avait choisie malgré la réticence de son père.

 

Carte de Cassini (Région de Vibraye, Sarthe)
Carte de Cassini (Région de Vibraye, Sarthe)


Ledit père, Charles AHIER, ne semble pas consentir au mariage de son fils. En effet, Jean AHIER a du faire intervenir le notaire de Vibraye, Jacques PINSELOUP, pour une sommation respectueuse.

On retrouve effectivement l'acte suivant dans les minutes de Me Jacques PINCELOUP, Notaire à Vibraye – 4 E 27 / 35 - Vue 383 / 426 (CRGPG) :

« Le 9e jour de février 1696 après midi par devant nous Jacques PINCELOUP Notaire et Tabellion du Marquisat de Vibraye y résidant à la requête de Jean AHIER Marchand demeurant audit Vibraye somme avec lui et en sa présence transporté par devant et à la personne de Charles AHIER Marchand son père demeurant audit Vibraye Lequel Charles AHIER ledit Jean AHIER son fils a prié et requis et humblement supplié de vouloir consentir et assister au mariage qu’il souhaiterait contracter avec Jeanne GERMAIN fille de Julien GERMAIN vivant Chapelier et de Marie HEULANT sa femme demeurante en ce lieu de Vibraye laquelle fille est un partie qui lui convient étant de pareille condition et bien famée lequel AHIER père aurait brusquement monté sur son cheval et aurait dit que son fils était un vaurien et qu’il ne se souciait point de cela et qu’il en moquait et aurait en même pressé le pas de son cheval et refusé de signer de ce interpellé de laquelle réquisition et réponse avons décerné le présent acte pour servir et valoir en temps et lieu ce que raison fait et arreste proche la Rivière de Braye où nous aurions trouvé ledit AHIER père en présence de Julien JOURNET Bourrelier et Jacques  JUMEAU Sergent demeurants audit Vibraye témoins signés avec ledit Jean AHIER et le notaire »

La nuit porte conseille, car le lendemain, Charles AHIER semble avoir changé d'avis :

Vue 388 / 426
« 
Je sous signé Charles AHIER consent que Jean AHIER mon fils épouse Jeanne DU CHESNE (au lieu de Jeanne GERMAIN … du Chesne est peut-être un titre ? le lieu-dit de son domicile ?) » en face l’église et que Monsieur le Curé de Vibraye ou Monsieur son Vicaire procède à la publication des bans et à la célébration de leur mariage, promettant d’avoir agréable tout ce qui se fera pour y parvenir et même de le ratifier si besoin est, soit que je sois présent audit mariage ou que j’en sois absent. En foi de quoi j’ai signé le présent billet et l’ai approuvé quoiqu’il ne soit pas écrit de ma main. A Vibraye le 10e jour de février 1696 et constitué le porteur du présent pour me représenter par lui où besoin sera à l’effet dudit mariage. Signature de Charles AHIER suivi de ‘J’approuve l’écrit ci-dessus’ »

 

Signature de Charles AHIER, Marchand à Vibraye (1696)
Signature de Charles AHIER, Marchand à Vibraye (1696)

Après avoir obtenu le consentement inattendu de son père, Jean AHIER n'a donc pas perdu de temps pour faire établir son contrat de mariage avec Jeanne GERMAIN, car dès le lendemain :

Vues 385-387
« 
Du samedi 11e jour de février 1696 avant midi devant nous Jacques PINCELOUP Notaire et Tabellion du Marquisat de Vibraye y résidant

Furent présents en personnes Jean AHIER Marchand fils de Charles AHIER aussi marchand et de défunte Julienne CALU sa première femme demeurant audit Vibraye d’une part et Jeanne GERMAIN fille de défunt Julien GERMAIN vivant Chapelier et de Marie HULANT sa femme à présent sa veuve d’autre part … »

On note tout de même que Charles AHIER n’est pas présent au contrat de mariage. Il est représenté par Mre Louis FROGER, Avocat au Parlement, Procureur fiscal dudit Vibraye, y demeurant.
L’époux est assisté de son frère Nicolas AHIER, Marchand, son frère.

Charles AHIER et Julienne CALU sont mes ancêtres (sosa n° 3066 et 3067)

Le mariage religieux ne tardera pas, car il est célébré à Vibraye le mardi 28 février 1696 (Registres paroissiaux - BMS 1672-100 - vue 193 / 286).

Il est question du consentement écrit du père du marié.
L'époux est assisté de Louis et Nicolas AHIER, ses frères, ainsi que son parrain, Jean BOUSSIQUAUT, mais son père n'est toujours pas présent.


Charles AHIER était donc absent au contrat de mariage ainsi qu'au mariage de son fils Jean 17 jours plus tard.

Je ne voudrais pas faire des conclusions hâtives, mais faut-il comprendre qu'il était consentant pour la forme mais que la "pilule" (sommation respectueuse) avait tout de même du mal à passer ? ;-)

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14 septembre 2013 6 14 /09 /septembre /2013 10:02

On recherche parfois en vain un baptême d'un ancêtre qui n'est pas né dans la même paroisse que ses frères et soeurs, mais lorsque l'on tombe sur la naissance qui suit, on peut se dire qu'effectivement il n'est peut-être pas né dans la région.

Une profession ambulante, un pélerinage, une visite dans la famille ... sont autant d'exemples qui peuvent expliquer un accouchement loin de l'origine des parents.

Voici un baptême trouvé à Chevillé (72) :

B 1593-1670 - BMS 1669-1741 (suite)

vue 304
"Le 7e jour du mois de janvier  mil six cent quatre vingt dix sept Guillaume François fils de Jean SEILLICAIRE diocèse de Cologne ville de Pumben en Allemagne soldat servant au Régiment de Mandrechen compagne de Me de HUCHE, et de Marie Jeanne MAUDUIT son épouse de l'Evesché de Tournay (Tournai) paroisse d'Orchi (Orchies), a été baptisé par nous prêtre curé soussigné parrain a été Guillaume François LE MAISTRE diocèse de Tournay paroisse d'Haluain (Halluin) aussi engagé dans le mesme régiment et dans la mesme compagnie maraine a été Marie Anne MAUDUIT diocèse de Tournay de la paroisse d'Orchi en Flandres lequel parrain sus et a soussigné
signatures : MAUBOUSSIN, Guillaume François LE MESTRE"

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 16:19

Trouvé dans les registres paroissiaux de Saint-calez-en-Saosnois :

BMS 1586-1699
Vue 304

"Jean fils d'Anne CLEMENT et de Jupiter ou de père inconnu fut baptisé en cette église de St Kalais par nous curé dudit lieu soussigné le 22e jour d'août 1690 ..."

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 10:17

J'avais évoqué l'utilité des mentions marginales dans un précédent article.

Cependant, elles peuvent parfois nous jouer des tours.

Par exemple, si l'on ne retrouve pas de mention marginale de mariage sur l'acte de naissance d'une personne née vers 1880, cela ne veut pas dire qu'elle ne s'est pas mariée. Il peut s'agir tout simplement d'un oubli de transcription.

Autre cas avec François Auguste BODINEAU, né le 28 aout 1869 à Conflans-sur-Anille (72), de François BODINEAU et Alexandrine Joséphine JULLIARD.
En marge, il est écrit que François Auguste BODINEAU s'est marié le 10 mai 1900 à Saint-Calais avec Alexandrine Joséphine JULLIARD.
La date de mariage est la bonne, mais l'épouse n'est pas la bonne, il s'agit du nom de sa mère ;-) Son épouse est en réalité Mathilde Célestine Augustine HERVET.



 

 

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 20:37

Voici un petit article pour partager avec vous 4 actes paroissiaux retrouvés sur Tresson :

 

 

BMS 1670-1694 - vue 130

 

"Le 8e de juillet 1678 a été ensepulturé par nous curé au cimetière de cette église un enfant masle du mariage de Pierre PICHON et de Françoise CHEVALLIER qui pour péril de mort a été baptisé par son père ny ayant point de personne présent pour le baptiser et ledit PICHON père qui nous assuré véritable et dit ne savoir signer"

 

 

BMS 1670-1694 - vue 148

 

"Le 5e du présent mois et an (mars 1680) nous avons baptisé un garçon né en notre paroisse au lieu de ... de Perrine DESPORTES de la paroisse de La Charte veuve de Jacques JOUSSEAUME dont le père nous est inconnu lequel néanmoins la ? nous a mandé être Antoine MOREAU de la ville de Loches comme il nous a été rapporté de la part de la dite DESPORTES par Louis BOURGOIN parrain et Jeanne HUGUET marraine de cette paroisse qui l'ont nommés Anthoine baptisé pour péril de mort par nous prêtre curé de cette église soussigné".

 

 

BMS 1670-1694 - vue 149

 

"Le 26 du présent mois et an (mars 1680) fut baptisé sur les fonds de cette église par nous prêtre curé de celle-ci ? soussigné Jacques fils de Jacques SAUVAGE qui s'en est allé vagabond et de Marie HALOPPE sa femme le parrain Jacques SABRE la marraine Marie HALOPPE femme de Jean BELLARDANT qui ont dit ne savoir signer".

 

 

 BMS 1670-1694 - vue 312

"le 9e jour de juin mil six cent quatre vingt quatorze fut baptisé dans l'église de Tresson par moy vicaire soussigné Jeanne fille de Jean OUDINEAU et de Perrine BOURDIN étant présentemment en fiance ont été parrein et marreine par charité Julien DUCHESNE et Mathurine ROBINEUX qui ont déclaré ne scavoir signer de ce enquis présent le dit Jean OUDINEAU qui a déclaré luy appartenir présent Pierre BOURGOIN et le sacriste DAVID et plusieurs autres".



 

On trouve le mariage des parents page suivante (vue 313) en date du 25 mai 1694 où il est indiqué :

 

"

le dit HOUDINEAU et BOURDIN ont légitimé Jeanne HOUDINEAU que ledit HOUDINEAU a reconnu pour sa fille et légitime héritière avec la dite BOURDIN".

 

 



 

 

 

 

 

 

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10 avril 2010 6 10 /04 /avril /2010 12:00

Voici une étrange découverte que j'ai fait hier dans les registres paroissiaux de Bessé-sur-Braye (72).


B 1643-1668 S 1660-1663 M 1643-1668 - vue 187 / 235


On y trouve à la date du 12.4.1646 la célébration de mariage entre :

 

- René DALUSEAU, fils de + Mathurin DALUSEAU et de + LUCAS, de Genilly ? en Touraine

- Marie PAVY, fille de + René PAVY et de Marie DAVID, de Courdemanche, et veuve de + Mathurin DUGUé.

 

Une note a été rajoutée en bas de page le dernier jour de décembre suivant.

Le mari de Marie PAVY n'était en fait pas décédé !

 

"le dernier jour audit an 1646 Mathurin DUGUé mari de ladite PAVY qu'on disoit et soutenoit d'être décédé s'étant présenté devant nous curé soussigné nous a dit qu'il estoit mari d'icelle PAVY et l'avoit espousée en l'église de Villaines sous Lucé c'est pourquoi avoir interrogée ladite PAVY sur ce subjet et si elle connaissoit ledit DUGUé pour mari m'ayant répondu l'avoir épousé et qu'elle croyoit et avoir été assurée qu'il estoit décédé depuis qu'il l'avoit quittée et abandonnée, je lui ai défendu d'habiter et de cognoistre plus ledit DALUSEAU et lui ai ... de retourner avec ledit DUGUé ... aussi j'ai défendu audit DALUSEAU de tenir et recognaistre pour femme ladite PAVY en présence de Mre René LEMOINE prêtre et Philippe HALGRIN Notaire"

 

 

Marie PAVY a donc du retourner vivre avec le mari qui l'avait abandonnée, et se séparer de son nouvel époux.

Si vous trouvez des éléments sur la suite de cette histoire, n'hésitez pas à mettre un petit commentaire.

 

Merci d'avance.

 

Nicolas


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24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 23:00
En consultant les registres de Surfonds (72), j'ai eu la surprise de trouver le mariage d'un Espagnol en 1649 :

BMS 1618-1697 vue 80/247

"Le mesme jour et an que dessus furent espousés Fernand GONZALES fils de Fernand GONZALES et de Marie XIMENES natif d'Espagne et Louise LE CHARTIER fille de Geoffroy LE CHARTIER et d'Anne DAUMAL du pays de Normandie vicomté de Argenton paroisse de Chesny, lesdits GONZALES et LE CHARTIER demeurant à présent au Maine paroisse de Parigné l'Evêque et domestique de Madame de Loudon ..."

Qui a dit que nos ancêtres ne voyageaient pas ?
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26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 21:52

Les mentions marginales sont fortes utiles lorsque l'on fait une descedance.

En effet, sur les actes de naissance des individus nés après 1880, on a de grandes chances de les voir, puisque les mariages (après août 1897) et les décès (après mars 1945) sont mentionnés en marge de l'acte de naissance de l'intéressé.

Pour tout savoir sur les dates d'apparition des autres mention marginales, je vous conseille
cet article.

A Lhomme (72), le curé était précurseur. Sur un acte de mariage (très succinct) de 1601, on trouve mention du 2nd mariage de l'époux, 4 ans plus tard :

BMS 1581-1672, vue 124 / 463

Et le 22 février mil six cent et unq Anthoine MOLLET et Perrine, fille de Pierre DUBREIL.
En marge :
Et le second jour de may fut épousé Anthoine MOLLET avecque Renée fille de René MENART en mil six cent cinq.

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27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 15:38

Maître Jean MOUSSU était notaire à Sainte-Osmane de 1696 à 1739.

Ses minutes sont classées comme suit aux AD 72 :


Cote

Date

Cote

Date

Cote

Date

4 E 185 / 2

 

4 E 185 / 3

 

4 E 185 / 4

 

4 E 185 / 5

 

4 E 185 / 6

 

4 E 185 / 7

 

4 E 185 / 8

 

4 E 185 / 9

 

4 E 185 / 10

 

4 E 185 / 11

 

4 E 185 / 12

 

4 E 185 / 13

 



Retour "accueil notaires"

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27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 13:02

Maître Thomas Antoine TIRONNEAU était notaire à Saint-Calais de 1768 à 1813.

Il appartient à une dynastie de notaires, et est notamment le fils et petit-fils des notaires calaisiens Thomas Julien TIRONNEAU et Thomas TIRONNEAU.

Ses minutes sont classées comme suit aux AD 72 :

Cote

Date

Cote

Date

4 E 50 / 576

Mai – Déc. 1768

4 E 50 / 577

1769

4 E 50 / 578

1770

4 E 50 / 579

1771

4 E 50 / 580

1772

4 E 50 / 581

Janvier – Mai 1773

4 E 50 / 582

Juin – Déc. 1773

4 E 50 / 583

Janvier – Juin 1774

4 E 50 / 584

Juil. – Déc. 1774

4 E 50 / 585

Janvier – Mai 1775

4 E 50 / 586

Juin – Déc. 1775

4 E 50 / 587

Janvier – Juin 1776

4 E 50 / 588

Juil. – Déc. 1776

4 E 50 / 589

Janvier – Juin 1777

4 E 50 / 590

Juil. – Déc. 1777

4 E 50 / 591

Janvier – Juin 1778

4 E 50 / 592

Juil. – Déc. 1778

4 E 50 / 593

Janvier – Juin 1779

4 E 50 / 594

Juil. – Déc. 1779

4 E 50 / 595

Janvier – Juin 1780

4 E 50 / 596

Juil. – Déc. 1780

4 E 50 / 597

Janvier – Avril 1781

4 E 50 / 598

Mai – Octobre 1781

4 E 50 / 599

Nov. – Déc. 1781

4 E 50 / 600

Janv. – Mars 1782

4 E 50 / 601

Avril – Juin 1782

4 E 50 / 602

Juil. – Sept. 1782

4 E 50 / 603

Octobre – Déc. 1782

4 E 50 / 604

Janv. – Mars 1783

4 E 50 / 605

Avril – Juin 1783

4 E 50 / 606

Juil. – Sept. 1783

4 E 50 / 607

Octobre – Déc. 1783

4 E 50 / 608

Janv. – Avril 1784

4 E 50 / 609

Mai – Juillet 1784

4 E 50 / 610

Août – Oct. 1784

4 E 50 / 611

Nov. – Déc. 1784

4 E 50 / 612

Janv. – Mars 1785

4 E 50 / 613

Avril – Mai 1785

4 E 50 / 614

Juin – Sept. 1785

4 E 50 / 615

Oct. – déc. 1785

4 E 50 / 616

Janv. – Avril 1786

4 E 50 / 617

Mai – Sept. 1786

4 E 50 / 618

Oct. – Déc. 1786

4 E 50 / 619

Janvier – Avril 1787

4 E 50 / 620

Mai – Sept. 1787

4 E 50 / 621

Oct. – Déc. 1787

4 E 50 / 622

Janv. – Mai 1788

4 E 50 / 623

Juin – Oct. 1788

4 E 50 / 624

Nov. – Déc. 1788

4 E 50 / 625

Janvier – Mars 1789

4 E 50 / 626

Avril – Juin 1789

4 E 50 / 627

Juil. – Oct. 1789

4 E 50 / 628

Nov. – Déc. 1789

4 E 50 / 629

Janvier – Mars 1790

4 E 50 / 630

Avril – Juin 1790

4 E 50 / 631

Juillet – Déc. 1790

4 E 50 / 632

Janv. – Avril 1791

4 E 50 / 633

Mai – Juillet 1791

4 E 50 / 634

Sept. – Déc. 1791

4 E 50 / 635

Janvier – Avril 1792

4 E 50 / 636

Mai – Sept. 1792

4 E 50 / 637

Oct. – Déc. 1792

4 E 50 / 638

Janv. – Avril 1793

4 E 50 / 639

Mai – Août 1793

4 E 50 / 640

Sept. – Déc. 1793

4 E 50 / 641

Frim. Pluv. An 2



Suite des ses minutes : ICI

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